Terrains synthétiques : bilan après 3 mois

Situées au stade Charles Ardoux et au Bois Jauni, ces nouvelles installations ont rapidement conquis les clubs de football et de rugby, qui voient leur nombre de licenciés nettement augmenter. Les nouveaux terrains permettent d’accueillir 38 heures d’entraînement hebdomadaires et jusqu’à 25 heures le week-end.

Il y a par exemple autant de créneaux d’entraînements de football que de rugby sur le terrain du Bois Jauni. C’est autant de volume horaire en moins sur les terrains en herbe qui s’en retrouvent préservés et de meilleure qualité.
« Les services techniques passent tous les 15 jours redresser les fibres des terrains synthétiques et retirer les feuilles. Sur les terrains en herbe, ils doivent  tondre toutes les semaines et refaire les traçages très régulièrement » explique Florent Caillet.
Le choix du liège comme matériau de remplissage a conquis tous les pratiquants locaux ainsi que les équipes adverses reçues.

« Comme nous nous y étions engagés, les terrains sont homologués pour recevoir des compétitions de foot à 11 et foot à 8 au stade Charles Ardoux et des compétitions de rugby en longueur et de football à 8 en largeur au Bois Jauni. Ils permettent ainsi à toutes les équipes de la commune de pouvoir accueillir les  compétitions dans de bonnes conditions, ce qui renforce la réputation sportive de la ville. » précise Florent Caillet, adjoint au sport. L’équipe professionnelle du Stade Nantais prévoit d’ailleurs de venir faire un stage le 6 janvier pour essayer le terrain du Bois Jauni.

Cette visite servira de test pour évaluer la qualité de l’infrastructure en vue d’une possible construction similaire à Nantes.