La torche olympique dans nos centres de loisirs

Près de 250 enfants ont pu écouter le fantastique récit de Patrick Lebon qui a été fortuitement désigné porteur de la flamme olympique par son entreprise en 2012. « Mon entreprise était partenaire des JO et à ce titre, elle pouvait désigner des porteurs de la flamme. Je n’ai pas candidaté, ce sont deux collègues et amis qui l’ont fait à ma place, » raconte-t-il sourire aux lèvres aux enfants. Et oui, car pour être porteur, les candidats devaient justifier d’un parcours d’engagement au service des autres. Et l’engagement associatif, Patrick connaît bien. Il a été membre actif dans de nombreuses associations comme les Virades de l’Espoir ou encore Electriciens sans frontières.

Ce mercredi, les enfants, des étoiles dans les yeux, ont pu porter et se faire photographier avec la fameuse torche olympique.

« Peu de gens savent que la torche est constituée d’autant de trous que de relayeurs. Pour Paris, 11000 relayeurs ont été désignés (contre 4000 en 2012), les torches ont été fabriquées avec du métal de la tour Effel. » Ce type d’anecdotes, Patrick en connait plein et les évoque à chaque rencontre. L’ancien porteur de flamme écume les écoles et les centres, « pour moi posséder la flamme est un immense privilège, on se doit d’en faire profiter les autres, » explique-t-il plein de générosité.

Le flambeau est tout autant porteur de flamme que de valeurs « fraternité, respect, pas de couleurs, pas de frontières ». Un discours positif et engageant que les enfants ont écouté avec attention ce mercredi 19 juin.